On était en week-end à la campagne. Gîte loué à quatre : moi, mon pote Lucas, sa femme Émilie, et moi-même, célibataire. L’idée était simple : barbecue, apéros, randos, glandouille. Rien de plus.
Sauf que la femme de mon pote, je l’ai toujours trouvée trop belle pour être rangée comme ça.
Émilie, brune, yeux clairs, petite voix posée, mais des hanches à se perdre et une bouche faite pour la luxure. Je l’ai matée dès le premier soir, sans honte. Elle l’a vu. Et elle a souri.
Le dimanche matin, Lucas part chercher du pain et quelques trucs à la supérette du coin. Moi je traîne dans la cuisine, torse nu, café à la main.
Émilie débarque en petite culotte et t-shirt trop court. Visiblement, pas pressée de s’habiller.
— Il est parti pour longtemps ? me demande-t-elle.
— Au moins 30 minutes, y’a du monde au village.
Elle s’approche. Laisse traîner ses yeux sur mon torse. Sur mon short. Elle s’assoit sur le plan de travail.
— Tu bandes souvent en me regardant ?
Je reste con.
— T’es sérieuse ?
— Tu crois que j’ai pas vu ton regard depuis le début du week-end ?
Elle écarte doucement les jambes. Pas de gêne. Pas de sous-vêtements non plus.
— Tu veux goûter ce que t’as reluqué pendant trois jours ?
Je pose la tasse. J’avance. Elle me chope la queue à travers le short.
— T’es déjà dur. C’est mignon.
Je baisse ma ceinture. Elle la sort. Elle la suce.
Doucement au début. Puis plus fort. Elle bave dessus, la prend jusqu’au fond, joue avec sa langue, me regarde.
— Tu veux me baiser ?
— Là. Tout de suite.
Elle descend du plan de travail, se penche, les mains appuyées sur la table. Je l’enfile direct. Pas besoin de salive. Elle est trempée.
Je la prends comme une chienne, sans douceur. Ma queue glisse à fond. Elle gémit, se cambre, réclame plus.
— Vas-y… t’es meilleur que lui… baise-moi comme j’aime…
Je claque ses fesses, je tape vite, fort. Elle jouit en tremblant, en criant mon prénom. Et moi, je jouis juste après. Je me retire à temps, je gicle sur son dos, son cul, ses cuisses.
Elle se retourne, s’essuie avec une serviette.
— T’as dix minutes avant qu’il revienne. Je te laisse le temps de te rhabiller.
Et elle remonte dans la chambre.
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