La nuit était tombée depuis longtemps, et la fraîcheur s’installait doucement sur le parking désert. Nous sortions d’un dîner de famille. Je riais encore de certaines blagues, le vin léger me donnait une chaleur diffuse. Quand il m’a proposé de me raccompagner, j’ai accepté sans réfléchir. Après tout, quoi de plus naturel que de monter dans la voiture de mon beau-frère ?

J’ai claqué la portière, le cuir tiède de la banquette arrière a collé un peu à mes cuisses nues. J’avais mis une robe courte, trop courte peut-être pour un repas de famille, mais je savais que ses yeux s’y étaient souvent attardés. L’air de rien, je l’avais remarqué.

Il s’est installé à côté de moi, et le parfum de son aftershave mêlé à une pointe de tabac froid a envahi l’habitacle. Son genou a effleuré le mien. Juste un frôlement, mais suffisant pour déclencher ce frisson coupable que je connaissais déjà. Ma poitrine se soulevait plus vite, mes seins lourds prisonniers du tissu fin.

Sa main a glissé sur ma cuisse, hésitante d’abord, puis plus ferme. Je n’ai pas bougé. Je l’ai laissé remonter, sentir la chaleur qui m’envahissait entre les jambes. Quand ses doigts ont trouvé ma culotte déjà humide, j’ai soupiré. Ce soupir qui n’était pas censé exister, pas dans cette voiture, pas avec lui.

Il a tiré le tissu de côté et a plongé deux doigts en moi. J’étais trempée. Le bruit obscène de ma chatte gorgée de désir emplissait le silence de la voiture. Je me suis cambrée, mes mains agrippant le dossier, ma tête renversée contre la vitre froide. L’odeur de cuir chauffé, de sueur, de sexe commençait à étourdir mes sens.

Je n’en pouvais plus. Je l’ai poussé sur le siège, j’ai ouvert sa braguette et j’ai sorti sa queue raide, épaisse. Le contact chaud et veiné contre ma paume m’a électrisée. Je l’ai prise dans ma bouche, mes lèvres serrées, ma langue tournant autour du gland luisant. Sa main a enfoncé ma tête, ma gorge s’est tendue. Mes yeux pleuraient, ma salive dégoulinait sur son ventre, mais je ne voulais pas arrêter.

Quand il a grogné trop fort, je me suis retirée. J’ai remonté ma robe, me suis tournée et mise à quatre pattes sur la banquette. Mes fesses offertes, mes reins cambrés, j’attendais. Il a craché dans sa main, humidifié son gland et sans prévenir, il a pressé contre mon trou arrière.

J’ai crié, mi-surprise, mi-excitée. La douleur a brûlé une seconde, vite remplacée par cette vague de plaisir interdit. Sa queue s’est enfoncée lentement dans mon cul serré. J’ai griffé le cuir du siège, mes seins ballottant, mes gémissements étouffés par la vitre contre laquelle je me cognais presque.

Il m’a tenu par les hanches et m’a pilonnée, ses coups secs résonnant dans tout l’habitacle. Le claquement de ses cuisses contre mes fesses, le grincement des ressorts de la banquette, mes cris étouffés, tout se mélangeait dans une symphonie animale.

J’ai senti mon orgasme monter, violent, incontrôlable. Mon clito frottait contre le cuir, ma chatte coulait malgré que sa queue soit dans mon cul. J’ai joui en hurlant son prénom, mes jambes tremblant, mes ongles plantés dans le dossier.

Lui n’a pas tenu plus longtemps. Il s’est arraché de moi, m’a forcée à me retourner et m’a enfourée la queue en bouche. J’ai sucé goulûment, gorge profonde, jusqu’à sentir ses jets brûlants exploser au fond de ma gorge. J’ai avalé tout, salé, épais, dégoulinant. Quelques gouttes ont coulé sur mes seins que j’ai étalées du bout des doigts.

Essoufflée, j’ai relevé la tête. Nos regards se sont croisés. Nous n’avons rien dit. Je me suis réajustée, robe froissée, cheveux collés à mes joues de sueur. Mais je savais que plus rien ne serait jamais comme avant.

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